Météo et Elections (suite) : Grèce
Le temps de ce dernier dimanche électoral en Europe confirme après celui du précédent nos conclusions présentées dans « le ciel tomberait –t-il sur nos têtes ? »
« Les conclusions sont claires et répétitives. En France , en Allemagne et dans d’autres pays de l’union Européenne, le temps du jour de l’élection a une influence sur le résultat de ces dernières. Les temps perturbés, en particulier ceux de sud en France, correspondent à des victoires de la gauche ou des partis sociaux démocrates et socialistes… »[1]
La situation météorologique du 4 octobre à 12 heure montre, autant au sol ( carte du haut) qu’en altitude au niveau de la surface des 500 hpa ( carte du bas), que le thalweg (T) qui a apporté la désolation en Sicile, s’est déplacé sur la Grèce en s’affaiblissant dans sa progression vers l'est. Une perturbation méditerranéenne passe sur le pays lors de l’élection qui donne la victoire aux socialistes grecs.
A une semaine d’intervalle, mes observations antérieures ont été une fois de plus confirmées, avec le victoire de la CDU-CSU et du FDP en Allemagne le 27 septembre sous un ciel anticyclonique et en sens inverse 7 jours plus tard en Grèce sous la dépression.
Il n’est jamais désagréable de voir le ciel confirmer ses observations, élections après élections !
Depuis 2003, la Grèce avait déjà été ajouté à la liste
Gérard Staron
[1] Gérard Staron « Le ciel tomberait-il sur nos têtes ? » 2003 éditions ALEAS 15 quai Lassagne 69001 LYON chapitre 1 « Climat électoral » p46
Disponible auprès de l’auteur ou de l’éditeur